« Les aides [aux entreprises] sont de l’ordre de 10 à 15 milliards. Mais le surcoût énergétique est de l’ordre de 50 milliards. Il reste donc 35 milliards pour l’industrie. Une entreprise va-t-elle pouvoir passer ces surcoûts à ses clients et d’augmenter les prix ? Non ! Elle va devoir prendre sur ses marges des sommes considérables. Donc les entreprises vont soit renoncer à un développement, des investissements, soit jouer leur survie. »
Louis Gallois, co-président de la Fabrique de l’industrie (Franceinfo)