« Je serai candidat à la présidence des Républicains… Avec les militants, je veux bâtir ce grand parti de droite, populaire et patriote, qui manque aujourd’hui à la France (…) Cette élection ne doit pas se transformer en un face-à-face entre deux camps qui joueraient la surenchère [car] dans notre état de faiblesse, un choc frontal pourrait nous briser (…) La capacité d’un chef ne se mesure pas seulement à son autorité, mais aussi à sa faculté à fédérer (…) Je tendrai toujours la main aux électeurs de Marine Le Pen et d’Éric Zemmour car je ne me résignerai jamais à ce que des Français sincèrement de droite nous aient quittés. »
Le président du groupe Les Républicains au Sénat (Le Figaro)