« J’entends souvent que, sur la question mémorielle et la question franco-algérienne, nous sommes sommés en permanence de choisir entre la fierté et la repentance. Moi, je veux la vérité, la reconnaissance sinon on n’avancera jamais. Cette histoire, on doit la regarder en face avec courage, avec lucidité, avec vérité (…) C’est une histoire qui n’a jamais été simple mais qui est et qui restera, parce que nous le voulons, une histoire de respect, d’amitié et, oserais-je le dire, d’amour. »
Le président français lors de sa visite en Algérie